Introduit au XIXᵉ siècle par des ésotéristes modernes, le concept de « langue des oiseaux » est présenté comme un code occulte que pratiqueraient les initiés (alchimistes, poètes hermétiques, sociétés secrètes) depuis des temps immémoriaux. Fulcanelli et Grasset d’Orcet, figures tutélaires de cette croyance, soutiennent que nos mots recèlent un double sens « cabalistique » transmis à l’insu des profanes.